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La musique, cette forme d'art la plus pure et universelle, se trouve aujourd'hui au cœur d'un duel féroce. Survivre ou prospérer, voilà le dilemme qui tourmente l'âme de chaque musicien. L'industrie musicale moderne, dominée par les géants du numérique et étouffée par des tabous persistants, semble être un champ de bataille impitoyable. Et si chaque note jouée se transforme en un cri de désespoir, peut-on vraiment appeler ça de l'art ?
Survivre ou prospérer musicalement et financièrement ? C'est la question que je vais te poser tout au long de cet article !
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Le monopole des géants du numérique
Apple, Spotify – des noms que chaque musicien connaît bien, souvent avec une amertume poignante.
Ces titans du numérique, ces ogres insatiables, monopolisent le monde de la musique et dévorent sans cesse les chances de succès des musiciens.
Considère l'exemple de Jean, un musicien talentueux.
Malgré des centaines de milliers de streams sur Spotify, il peine à payer son loyer.
L'ère numérique, censée être un havre de possibilités, s'est transformée en un océan de désolation pour des musiciens comme lui.
Que vas-tu faire fasse à cela, survivre ou prospérer ?
Le mythe du streaming
Le streaming, ce mirage de la modernité, est une promesse qui n'a jamais été tenue.
Les musiciens, attirés par l'idée de milliers, voire de millions d'écoutes, se retrouvent souvent confrontés à la réalité cruelle : des revenus dérisoires.
La croyance selon laquelle le streaming pourrait remplacer les revenus des ventes physiques est un mythe.
L'histoire de Laura, une chanteuse talentueuse qui a eu plus d'un million d'écoutes sur Spotify et a à peine pu payer une semaine d'épicerie avec ses revenus, est un témoignage émouvant de cette réalité amère.
Quels sont les alternatives pour survivre ou prospérer face au mythe du streaming musical ?
Le refus de vendre
Dans le monde de la musique, les musiciens français sont souvent réticents à se vendre.
L'art, selon eux, ne devrait pas être souillé par le mercantilisme.
Pourtant, c'est cette attitude qui les pousse dans un cercle vicieux de pauvreté.
Prends le cas de Pierre, un guitariste talentueux.
Il a produit un album incroyable mais a refusé d'apprendre à le vendre correctement.
Résultat ?
Des centaines de copies non vendues et des factures impayées.
Le tabou de l'argent
Survivre ou prospérer ? Préfères-tu être pauvre ou avoir accès à un certain confort ?
L'argent ne fait pas le bonheur, mais il y contribue grandement, dit-on souvent. On dit aussi que l'habit ne fait pas le moine, mais on ne se présente pas nu dans un monastère, n'est-ce pas ?
Parlons, bien, parlons argent, parlons cash !
Ce mot semble avoir une résonance sinistre dans l'industrie de la musique.
Les musiciens français le voient souvent comme un intrus indésirable, un corrupteur de l'art pur.
Mais dans leur recherche de pureté artistique, ils s'appauvrissent eux-mêmes.
L'argent est le sang qui fait circuler l'économie, et sans lui, un artiste ne peut pas survivre, encore moins prospérer.
Asservissement et subventions : l'entrave administrative
Survivre ou prospérer en France… Parlons un peu de l'administration…
En France, la lourdeur administrative peut souvent être un fardeau pour les musiciens, et on comprend bien pourquoi…
Les subventions (ou plutôt la carotte pour avancer), bien que vitales pour de nombreux artistes, les enchaînent souvent dans une routine administrative épuisante.
Tout le monde n'a pas le luxe d'avoir une équipe, un(e) assistant(e) autour de soi.
Cela entrave leur créativité et limite leur indépendance.
Regardons Marie, une violoniste talentueuse.
Pour survivre, elle passe plus de temps à remplir des demandes de subvention qu'à composer et à jouer.
Est-ce là la liberté artistique qu'elle cherchait ?
Survivre ou prospérer ? Quel est ton choix ? Carotte ou pas carotte ?
Quand je vois tous ces logos et tout le travail que cela représente pour le peu de résultat à obtenir, ça donne plutôt envie de se pendre avec les cordes de son instrument.
Et pourtant, j'ai fait ce travail titanesque tout seul, de 2012 à 2014 (je n'avais pas encore d'assistante à l'époque), je peux te garantir que 80% des musiciens vont abandonner en cours de route, parce que rien que pour souscrire à ces organismes à la c**, c'est le parcours de la croix et la bannière.
C'est cool d'avoir ces logos sur ton disque, ça peu paraître stylé, mais tu ne fais toujours pas la chose la plus importante pour vivre : VENDRE TA MUSIQUE 24h/7 à tes FANS.
Donc, si j'ai bien un conseil à te partager, tu peux vivre de la musique sans avoir de carotte pour avancer, et crois-moi, la France est championne du monde pour créer des carottes 🥕 pour nous “aider”, nous les pauvres petits artistes bêtes et non-autonome…
Pendant que tu remplies des papiers pour espérer peut-être t'imaginer être admis, tu ne fais toujours pas du business avec des fans qui eux, veulent acheter tes services, tes produits, tes accompagnement, etc…
Survivre ou prospérer, j'ai fait mon choix depuis longtemps. Il n'y a que des alternatives, les seules limites qui existent sont celles que l'on se crée et que l'on s'impose.
Survivre ou prospérer : être musicien ou être entrepreneur, un choix non offert
Être musicien ne signifie pas que l'on doit renoncer à être un entrepreneur.
Au contraire, une bonne connaissance des finances et de la fiscalité peut aider les musiciens à optimiser leurs revenus et à mieux contrôler leur carrière.
Prends l'exemple de Paul, un pianiste qui a créé sa propre société de production musicale.
Grâce à son sens aigu des affaires et à sa connaissance de la fiscalité, il a pu prospérer en tant que musicien, sans sacrifier son intégrité artistique.
Survivre ou prospérer avec GROOVE LIKE A PIG ProfitBoost®
Malgré ce tableau sombre, il y a un rayon de lumière, un phare d'espoir – GROOVE LIKE A PIG ProfitBoost®.
Ce programme t'offre les outils et les conseils nécessaires pour naviguer dans ces eaux tumultueuses.
Tu n'as pas à choisir entre survivre et prospérer.
Avec GROOVE LIKE A PIG ProfitBoost®, tu peux faire les deux.
Tu peux créer de la musique et la vendre de manière efficace, sans compromettre ton art.
Tu peux briser les chaînes de la peur et du doute, et marcher sur le chemin de la prospérité.
Conclusion
Survivre ou prospérer ? Ce n'est pas un choix que les musiciens devraient avoir à faire. Mais c'est le dilemme déchirant dans lequel nous nous trouvons. L'industrie de la musique peut sembler cruelle et sans merci, mais elle n'est pas impénétrable. Avec GROOVE LIKE A PIG ProfitBoost®, les musiciens peuvent transformer leur destin et conquérir leur place dans ce monde tumultueux. Alors, cher musicien, la question se pose : vas-tu continuer à te débattre pour survivre, ou vas-tu te lever et prospérer ?
J'espère que cet article t'a plu, n'hésite pas à me faire part de tes commentaires ou à me poser des questions si besoin !
Bonne créativité, Bon groove, Bonne musique.
GROOVE LIKE A PIG®
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Pour aller plus loin
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